La Ville de Metz a invité le street artiste OX qui animera un atelier ouvert à tous le mercredi 29 janvier à partir de 13 h 45 pour réaliser ensemble une installation géante et colorée à l’entrée de l’Agora. Ciseaux et papier sont fournis, venez comme vous êtes, seul, en famille ou entre amis ! Repartez avec un souvenir créé sur place avec OX.
Passages Transfestival développe cette année un nouveau rendez-vous, mensuel et [...]
Akiko Hasegawa, danseuse originaire du Japon et invitée du Transfestival lors de l'édition Archipelago propose dans cet atelier d'aborder la danse comme un endroit de partage.
Au mois de mars 1759, à la frontière entre le Norfolk et le Suffolk, à l’est de l’Angleterre, alors que tout le pays attend impatiemment le passage de la comète de Halley qui doit illuminer le ciel de sa lumière immaculée, Sally Poppy, une domestique de 21 ans, dont la vie ne fut que pauvreté et misère, est accusée et reconnue coupable – avec son amant – du meurtre atroce d’une jeune enfant.
C’est lendemain de carnaval. Que faire quand la fête est finie ? Nous quartier libre, création de la Compagnie Tout va bien avec les acteur·ices de La Mue du Lotus, nous plonge dans le plaisir du jeu et le désir d’être libre…
Les artistes retenus pour la résidence en Arts numériques des Rotondes présenteront leur travail lors du Multiplica Lab.
Durant deux jours, les Rotondes vous invitent à découvrir les technologies numériques comme moyen de réflexion lors du Multiplica Lab. Au programme : installations et performances live qui réinterprètent le monde contemporain et en interrogent les grands paradoxes.
Cette exposition dévoile au public l’extraordinaire richesse de l’ensemble réuni par le baron Louis-Numa de Salis, légué à la ville de Metz en 1892, depuis les chartes et manuscrits médiévaux jusqu’aux gravures des plus grands artistes lorrains (Callot, Leclerc), en passant par de très beaux incunables, livres illustrés, et documents d’archives.
Deep Are the Woods est un spectacle sur le vide et l'infini dont l'interprète est la lumière. Placé au centre du dispositif, le spectateur fait autant appel à son imaginaire qu’à ses sensations : la lumière entoure, effleure, vient chercher, donnant l’impression d’être touché par elle et de pouvoir la saisir. Elle est un corps en mouvement qui définit l’espace et donne au spectateur l’impression de flotter au milieu du vide. D’une écriture subtile, cette expérience physique fonctionne aussi bien avec les adultes qu’avec les plus jeunes publics.
Voilà ! Le Festival est de retour pour une 2ème édition à Verdun, avec 2 jours de spectacles et 10 lieux à parcourir.
L’exposition Vestiges enfouis aux Récollets (17 mars – 4 juillet, Cloître des Récollets) est une exploration archéologique et archivistique du cloître messin.
C’est lendemain de carnaval. Que faire quand la fête est finie ? Nous quartier libre, création de la Compagnie Tout va bien nous plonge dans le plaisir du jeu et le désir d’être libre…
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